Emozioni a 360° tra i patrimoni del Mendrisiotto Mendrisio

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Église

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Emozioni a 360° tra i patrimoni del Mendrisiotto Mendrisio

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DÉTAILS

  • Église de san sisini... ... (Zone)

    La petite route qui grimpe depuis le Palais Pollini sur la colline de la Torre permet de rejoindre l’église dédiée aux saints Sisinio, Martirio et Alexandre, peut-être construite en même temps que les fortifications de surveillance qui bordaient les voies d’accès locales à l’habitat lombard qui n’est pas autrement documenté. La construction, qui n’a jamais fait l’objet de recherches, devrait conserver des traces d’architecture romane, puisqu’il existe une citation d’une cloche perdue datant de 1213. Attestée vice-paroisse des familles nobles Torriani et Bosia depuis 1304, elle abrita le premier couvent des Servites de Marie entre 1450 et 1477. Le maître-autel exposait un splendide polyptique de Bernardino Luini du début du XVIe jusqu’à sa vente en 1793. Il fut ensuite remplacé par l’actuel retable de Giovan Battista Bagutti. L’édifice actuel, restauré progressivement entre la fin du XVIIIe et la première moitié du XIXe, présente une simple nef à deux chapelles latérales qui montent nettement vers le haut presbytère suivi d’un petit chœur. Dans la nef, les histoires des saints patrons, de Francesco Catenazzi et d’Abbondio Bagutti, illustrent le néoclassicisme académique de 1816. Des œuvres de différentes provenances sont conservées dans le chœur : une crèche du XVIIIe acquise par les Torriani à Munich en 1856, le grand retable de Francesco Torriani représentant le Martyre de sainte Ursule (1645) de la paroisse démolie, une Immaculée du Milanais Vimercati et le retable peint représentant saint Charles provenant de la chapelle de même nom dans l’église (filiale) de Santa Maria nascente dans la commune de Mendrisio.

  • Église de santa mari... ... (Zone)

    La petite église de Santa Maria se trouve dans la partie la plus ancienne du centre de Mendrisio. Elle fut partiellement construite sur une villa romaine, dont les vestiges ont été découverts sous son parvis en 1911 et ont fait l’objet de fouilles en 2002 et en 2014. De la première édification d’origine romane, il ne reste que le clocher, rehaussé au XVIIe, et peut-être les deux nefs parallèles (celle de droite utilisée plus tard comme « oratoire »). Ayant fait l’objet à la fin du XVIe d’une réorientation avec la construction de l’abside actuelle, elle est décorée de beaux tableaux d’inspiration du Morazzone, dont le retable représentant la Nativité de Marie. La nef, aux voûtes en berceau et divisée en trois travées, est décorée de peintures exécutées en 1848 par Angelo Sala de Milan. Dans la chapelle dédiée à San Carlo, construite en 1656, une statue en terre cuite de saint Charles Borromée, réalisée en 1663 par Agostino Silva, se trouve au-dessus de l’autel en marbre. Des fresques peintes par Giovanni Battista Bagutti vers la fin du XVIIIe à l’aide de motifs en trompe-l’œil ornent le dôme elliptique d’inspiration romaine. Sur le côté ouest, une statue en bois du XVIIe de Notre-Dame de la Miséricorde en pleur, peut-être associée à la tradition d’organiser dans ce lieu le « sépulcre » de la Semaine sainte.

  • Église de san vigili... ... (Zone)

    Cette petite église a été construite dans un lieu isolé, sur un sommet panoramique situé à l’ouest du village. Remontant à la première moitié du XIe siècle et peut-être érigée sur une construction religieuse antérieure, elle constitue l’un des plus intéressants exemples du style roman du Sottoceneri. Les murs externes se caractérisent par des arcades tripartites, en alternance avec des lésènes selon un rythme irrégulier mais harmonieux. Sur le côté sud, s’ouvre un petit portail en arc en pierre à quatre niches, peut-être le vestige d’un petit bâtiment datant d’avant le millénaire. L’intérieur a été vidé de ses ornements lors des restaurations de 1949, ce qui permet de voir la structure très simple. L’abside est entièrement décorée de fresques de la première moitié du XIIIe, au style vif et expressif, rappelant le maître actif à l’église Sant’Ambrogio vecchio de Cademario, mais bien loin de l’élégance raffinée de culture byzantine qui caractérise le baptistère de l’église mère de celle-ci, située à Riva San Vitale.

  • Église de santa mari... ... (Zone)

    Le sanctuaire fut bâti après un miracle qui survint en 1594 (illustré sur le vitrail de 1900), et il remplace l’ancienne église paroissiale de San Giorgio, située hors du centre urbain. La structure a été construite entre 1595 et 1613, et elle possède une nef unique à dôme ovoïdale (à tambour) et quatre chapelles latérales dédiées à la Madone des miracles, à Saint Joseph, à Saint Charles et aux Saints Pierre et Paul. Différents artistes lombards et tessinois parmi les plus célèbres et les plus appréciés, actifs entre le XVIIe et le XVIIIe siècle, ont laissé quelques œuvres significatives. Ce sont les architectes, les sculpteurs et les stucateurs Silva de Morbio, les Torriani de Mendrisio, Isidoro Bianchi de Campione, Filippo Abbiati de Milano, Recchi et Gaffuri de Côme, Pozzi de Valsolda, ainsi que Petrini de Carona qui réalise en 1726 deux splendides toiles. La chapelle de la Madonna dei Miracoli, qui possède une image miraculeuse, fresque de la fin du gothique, est particulièrement riche et précieuse.

  • Église de san pietro... ... (Zone)

    D’une grande simplicité, l’église de San Pietro, mieux connue sous le nom d’Église rouge, se dresse sur l’éperon rocheux qui surplombe la rivière Breggia. Elle est rattachée à un important vieux château, qui a donné son nom au village. Bien que la teinte rouge était autrefois couramment employée pour les églises isolées, c’est l’une des rares à avoir conservé cette couleur. En effet, le romanticisme du XIXe siècle l’associe à la légende sanguinaire d’un massacre survenu ici au 1390 entre familles politiquement rivales. Cette église est assurément importante, compte tenu de la rareté et de la qualité de la décoration picturale gothique, plutôt bien conservée, réalisée essentiellement entre 1343 et 1345 par le « maître de Sant’Abbondio à Côme », représentant des épisodes de la vie du saint patron, tandis que les décorations géométriques qui couvrent tous les murs de la salle sont aujourd’hui presque uniques. La façade expose la copie du bas-relief, déposée dans l’église, représentant l’évêque de Côme Bonifacio da Modena, qui en 1343 fit reconstruire et décorer l’église. Lorsque le bas-relief fut détaché du mur au cours des travaux de restauration menés en 1979, on découvrit au-dessous la décoration carolingienne à motifs tressés (IXe), ce qui indique que le marbre provient de l’église de Sant’Abbondio à Côme.

  • Église de san carpof... ... (Zone)

    C’est à l’extrémité sud du centre urbain qu’est bâtie l’église de San Carpoforo, attestée dès 1148. À proximité, se dressait un château, documenté en 1054, dont il ne reste rien. Une première rénovation du bâtiment de la fin du Moyen Âge fut effectuée entre la fin du XVIe et la première moitié du XVIIe, avec l’ajout des chapelles latérales. À la fin du XVIIe, elle subit une totale transformation lors de laquelle les Tencalla de Bissone jouèrent un rôle prépondérant, tant comme bienfaiteurs que comme entrepreneurs et décorateurs. La façade, qui date de 1759 et de 1784, est divisée par des piliers en trois parties, avec un tympan surmonté de statues. Sur la face nord, à la hauteur du chœur, se dresse le clocher de la fin du Moyen Âge avec une couronne octogonale. L’intérieur à trois nefs est riche d’ornements, exécutés entre 1680 et 1688, avec des décors en stuc dans la voûte qui encadrent de nombreuses fresques de thème théologique : Victoire de la croix, Prière de l’agneau, Anges musiciens. L’église se distingue par le fait que certains stucs ont conservé leur couleur d’origine, alors qu’ailleurs ils ont été partiellement ou totalement effacés, ainsi que par de précieux polyptiques de sculpture sur l’autel majeur et dans les deux chapelles latérales.

  • Baptistère de riva s... ... (Zone)

    Il s’agit du bâtiment religieux le plus ancien encore entièrement conservé en Suisse. Il fut intégralement restauré entre 1953 et 1955 par Ferdinando Reggiori. Dédié à Saint Jean Baptiste et construit probablement sur les fondations d’une construction romaine (une villa ou des thermes), il constitue un exemple important d’architecture paléochrétienne du VIe siècle. La structure à plan carré est complétée sur le côté Est par une abside réalisée peu de temps après la première phase. À l’intérieur, le plan est octogonal, avec des niches rectangulaires et semi-circulaires. Au centre du sol, la grande vasque monolithique romane, partiellement d’origine, se superpose à la vasque octogonale paléochrétienne de maçonnerie. La décoration picturale se compose de fresques de période romane et de la fin de l’époque romane (mais aussi plus tardives). Certaines présentent une grande finesse d’exécution et une iconographie complexe, racontant entre autres la vie du Christ de la Nativité à la Crucifixion, un espace étant consacré dans une niche au Jugement universel. On distingue dans l’abside la très rare image du Christ vivant et glabre sur la croix en T, qui remonte au début de l’année mille, tandis que la figure partielle de gauche, du bienheureux Manfredo Settala, ermite sur le San Giorgio, est gothique.

  • Museo d’arte sacra d... ... (Zone)

    Les espaces d’une vieille maison bourgeoise située à l’entrée du village de Meride abritent le Museo d’arte sacra. On peut y admirer des archives et une bibliothèque, une salle destinée aux expositions temporaires d’artistes (ou de thèmes) liés au village de Meride, ainsi qu’une grande partie du mobilier ecclésiastique ancien qui n’est plus utilisé ou exposé dans les églises du village.

  • Église de san silves... ... (Zone)

    L’église de San Silvestro se trouve à Meride sur les pentes du Monte San Giorgio. Comme beaucoup d’églises, elle fut érigée dans ou au-dessus d’un des nombreux châteaux qui fortifiaient depuis les temps les plus reculés le parcours entre le lac de Côme et celui de Lugano, probablement au-dessus d’une église romane, dont il reste quelques traces, comme les chapiteaux à bas-reliefs (peut-être du XIIIe) sur lesquels reposent les colonnes du portique ajouté au XIXe. En 1483, elle devint une église paroissiale, puis elle fut agrandie et modernisée avec trois nefs à croisées d’ogives et aux colonnes de style Renaissance, tandis que l’ancien chœur était conservé. C’est ici que vers 1690 le peintre local Francesco Antonio Giorgioli représenta en fresques différents épisodes de la vie du pape Silvestre et de l’empereur Constantin. La chaire gravée et peinte est de 1595, tandis que les autres œuvres intéressantes, comme les statues et les autels latéraux, datent du XVIIe.

  • Église de san giovan... ... (Zone)

    De style rococo, l’église fut construite entre 1722 et 1729 par des artistes presque tous locaux d’après les plans de Giovan Pietro Magni, pour le couvent des Servites de Marie qui jouxte l’église. Toutefois, ici aussi, la communauté de Mendrisio s’employa à réunir les fonds nécessaires, en allant jusqu’à travailler le dimanche. À l’intérieur, l’unique nef éclairée est élégamment ornée de stucs remontant aux années 1724-1727. À gauche, la première chapelle abrite une précieuse œuvre qui provient de la précédente église : le retable de Francesco Innocenzo Torriani, qui représente la Vierge à l’enfant apparaissant à saint Roch (à gauche) et saint Sébastien (à droite). Dans la voûte de la nef et de l’abside, Giovanni Battista Bagutti a peint en fresques quatre médaillons en 1774. Dans un style encore baroque, les personnages représentés expriment des sentiments intenses avec leurs poses éloquentes et les amples draperies les rendent monumentaux. Les couleurs en dégradé, plus sombres dans les parties inférieures, plus lumineuses vers le haut, suggèrent la montée aux cieux. Mais ils sont intégrés à une fausse architecture (exécutée par les frères Brenni) qui démontre une certaine sensibilité et une connaissance du style néoclassique, alors moderne. Les autels latéraux et les médaillons présentent des peintures que les frères achetèrent par l’intermédiaire des membres de leur ordre en Lombardie et en Émilie, notamment deux toiles d’Ignazio Stern, qui complètent la série des Sept douleurs de Marie, exécutée par Domenico Pozzi de Castel San Pietro en 1769. Dans le presbytère (dessiné par l’architecte Paolo Soratini de Lonato), on peut admirer le fronton de l’orgue (recomposé par Raina en 1729 avec des éléments du précédent XVIIe), tandis que le chœur frontal abrite le premier retable de Giuseppe Carpani, qui date de 1577, entre deux toiles de Torriani père. Dans la niche creusée en 1774, on distingue la statue « habillée » de Notre-Dame de la Miséricorde, protagoniste de la procession historique du Vendredi saint au moins depuis 1747.

  • Église de san martin... ... (Zone)

    Au nord-ouest de la petite ville, près de l’autoroute (qui se superpose à l’axe routier romain, puis lombard), se trouve l’église de San Martino, attestée dès 962, mais certainement encore plus ancienne, comme le démontrent les seules fouilles archéologiques menées à Mendrisio en 1963, qui révélèrent, sous l’actuel édifice roman des XIIe et XIIIe siècles, les vestiges de trois églises, dont la plus vieille présente deux absides peut-être carolingienne (une trappe permet d’accéder aux fouilles). La nef de style roman lombard décorée d’arcades aveugles est intacte, tandis que le chœur rectangulaire et les autres sections remontent à l’époque baroque, tout comme les tableaux qu’il abrite, dont le très beau polyptique exécuté par Francesco Torriani. Le groupe en bois peint représentant Saint Martin à cheval du début du XVIIe, et l’antependium figuré de l’autel, qui provient de l’ancienne paroisse du village, sont également d’une qualité remarquable. Le jour de la saint Martin, une foire traditionnelle éponyme, encore très appréciée aujourd’hui, est organisée dans les environs immédiats. À l’occasion de cette fête, la petite église est ouverte au public toute la journée.

  • Ermitage de san nico... ... (Zone)

    La petite église et l’Ermitage de San Nicolao se trouvent à 700 mètres d’altitude, directement au-dessus des caves de Mendrisio et perpendiculairement par rapport à celles-ci. Selon une légende médiévale, on pouvait voir certaines nuits une lumière briller sur ce rocher (d’où le nom « Monte della stella »). En 1413 un évêque de Côme y trouva une vieille image de la Vierge (conservée seulement partiellement), autour de laquelle il ordonna de construire un oratoire. Agrandi plusieurs fois au cours des siècles, il abrite aujourd’hui trois autels du XVIIIe, aux stucs de grande qualité, ainsi qu’un retable représentant Saint Michel (1699) d’Innocenzo Torriani. Le premier ermite qui vécut dans ce lieu semble avoir été un frère de l’Ombrie, Benedetto Agnoselli. Il fut suivi de nombreux autres jusqu’en 1809, certains provenant notamment d’illustres familles du Mendrisiotto et de Lombardie. C’est aujourd’hui la Confraternité de sainte Marie libératrice qui s’occupe de la petite église de l’ermitage, qui abrite depuis le début du XXe siècle un lieu de repos, devenu au cours du temps un « grotto » à succès.

  • Musée du «trasparent... ... (Zone)

    Petit chef-d’œuvre de l’architecture du XIXe siècle, Casa Croci héberge le Musée du « trasparente ». Il s’agit du premier espace d’exposition dédié à un extraordinaire patrimoine artistique et historique de la région : une tradition séculaire qui a conduit la Confédération à présenter un dossier de candidature des Processions historiques de la semaine saine au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Tableaux nocturnes qui éclairaient, décoraient et marquaient l’itinéraire dans la vieille ville des processions du Jeudi et du Vendredi saint, les « Trasparenti » font pour les habitants de Mendrisio partie intégrante d’une tradition très appréciée et quasiment inchangée au cours du temps. Les « Trasparenti » constituent un cas unique de greffe de la culture des Lumières dans la tradition baroque. Il s’agit de décors éphémères, réalisés selon une technique exceptionnellement moderne et à la grande efficacité communicative. Le nouveau Musée de Casa Croci permet d’observer de près les précieux objets et leur technique d’exécution particulière, mais aussi d’en mieux connaître les différents types.

  • Temple de santa croc... ... (Zone)

    Le Temple de Santa Croce constitue un exemple splendide et quasiment unique en Suisse d’architecture de la fin de la Renaissance. Édifié entre 1580 et 1594, sa décoration picturale s’acheva en 1599, année de sa consécration. Le plan central, qui se développe en hauteur jusqu’à s’articuler avec le tambour octogonal qui soutient un dôme orné d’une lanterne élancée, de facture typiquement maniériste, a été dessiné par l’architecte Giovanni Antonio Piotti de Vacallo, actif à Côme et à Milan. On peut admirer à l’intérieur de riches stucs de style classiciste, des fresques, notamment des sujets profanes (paysages et grotesques), dans les niches situées entre les chapelles marquées d’énormes colonnes doriques réalisées en faux marbre, qui donnent l’impression que le bâtiment ne possède pas de murs. Le sol, finement réalisé à l’aide de pierres et de marbres polychromes marquetés et disposés pour former des motifs géométriques, renferme en son centre les symboles de la passion du Christ, l’église étant à l’origine destinée aux tombes de la famille Della Croce, dont l’évêque de Côme Bernardino. La série de toiles qui décorent les chapelles est particulièrement prestigieuse. Elle provient de la boutique milanaise de Camillo Procaccini, auteur des deux grandes scènes sur le côté de l’autel majeur qui représentent Le songe de Constantin et La découverte de la vraie croix. En 2010, dix toiles qui décoraient les somptueux autels en bois latéraux ont été volées. Comme les magnifiques portes gravées, elles étaient l’œuvre de Gaspare Mola. Les balustrades et les bénitiers du temple sont en « marbre » d’Arzo, tout comme de nombreux ouvrages présents dans les édifices sacrés de la région.

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Marcello Speziali

2017-11-01
L'interno è magnifico, da visitare assolutamente!

Francesco Gaffuri

2017-11-01
Meraviglioso :)